Stimulation ovarienne : effets secondaires et risques

Stimulation ovarienne : effets secondaires et risques

Les effets indésirables peuvent être différents selon le type d’hormonothérapie administrée. Par exemple, les bouffées de chaleur, parfois associées à des épisodes de sueurs nocturnes, sont les effets indésirables les plus fréquemment associés à l’hormonothérapie, par anti-œstrogènes ou anti-aromatases. Une prise ou une perte de poids est observée chez près d’un tiers des patientes et des troubles de
l’humeur, avec fatigue et insomnies sont présents pour environ une patiente sur cinq. Des effets plus intimes comme une sécheresse vaginale, des douleurs pendant les rapports sexuels ou une baisse de la libido peuvent également apparaître.

  • On préfère, chez les femmes jeunes présentant des facteurs de risque métastatique, recourir à la chimiothérapie adjuvante ou à la combinaison de chimiothérapie et d’hormonothérapie si la recherche de récepteurs hormonaux sur la tumeur est positive.
  • Cette étude a inclus 3484 femmes ménopausées porteuses d’un cancer du sein exprimant les récepteurs hormonaux et traité pendant 5 ans par un inhibiteur de l’aromatase (anastrozole).
  • La prise en charge thérapeutique du cancer de l’ovaire est décidée au cours d’une réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP) avec tous les spécialistes du cancer.
  • Je conseillerais plutôt de la progestérone seule et si cela s’avérait inefficace, d’utiliser certains anti dépresseurs.
  • Des douleurs pelviennes, des nausées, voire des vomissements peuvent en résulter.

Dans la majorité des pays d’Europe, la DHEA a un statut de médicament sans avoir fait l’objet d’une autorisation officielle de mise en marché, une procédure coûteuse qu’aucune compagnie pharmaceutique n’a entamée. En effet, comme il s’agit d’une hormone naturelle, elle n’est pas brevetable et ne présente donc guère d’intérêt pour les investisseurs. andriolfrance La croyance qui veut que la diosgénine (qu’on retrouve surtout dans l’igname sauvage, mais également dans d’autres plantes, notamment le soya, le trèfle rouge et le persil) soit un précurseur de la DHEA n’est pas fondée (voir la section Sur les tablettes). Donc, la consommation de ces plantes n’augmente pas la production de DHEA.

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Les modalités d’utilisation de ces trois médicaments sont variables, même s’ils possèdent un mode d’action identique. Les tumeurs cancéreuses du sein contiennent aussi cette enzyme ce qui explique pourquoi cette enzyme occupe une position clé dans le traitement hormonal de ces cancers. Les traitement vont tendre à l’inhiber pour freiner la production d’œstrogènes. Elle est impliquée dans la production d’œstrogènes qui sont des hormones féminisantes.

  • Dans chacun de ces essais, l’inhibiteur de CDK4 et de CDK6 jumelé à une endocrinothérapie était comparé à un placebo allié à la même endocrinothérapie.
  • Elle est antagoniste pour certains tissus, en particulier pour ceux de la glande mammaire, qu’ils soient normaux ou tumoraux Elle possède, aussi, des effets agonistes estrogéniques pour d’autres tissus tels que l’os (diminution de la perte osseuse post-ménopausique) et l’endomètre.
  • L’hormonothérapie du cancer du sein est un traitement anticancéreux adjuvant (après la chirurgie et radiothérapie) indiqué dans les cancers du sein dit hormonosensibles.
  • La pratique d’une activité physique régulière aide à lutter contre cette fatigue.

Comme le citrate de clomifène (Clomid), les hormones injectables pour stimuler les ovaires augmentent le risque de grossesse multiple et de grossesse extra-utérine. L’indication principale est sa prise en complément pour  les cas de femmes qui ont été traitées pour le cancer du sein afin de les protéger des hormones produites par l’organisme. Selon le Dr Pistilli, qui a présenté les premières conclusions de l’étude au congrès de l’ESMO (European Society For Medical Oncology) en septembre 2018, une femme sur 6 ne suivrait pas son traitement de Tamoxèfene à un an seulement de la prescription médicale.

Pourquoi demander un deuxième avis pour une hormonothérapie du cancer du sein ?

Peu d’autres techniques agissent dans ce sens. Les résultats peuvent être très spectaculaires mais parfois beaucoup moins. Les appareils pour retendre la peau sont assez récents et vont encore évoluer. L’émission des ondes de très haute fréquence est ressentie comme une chaleur.

  • L’indication de ce traitement est validée en Réunion Pluri-Disciplinaire (RCP).
  • Les problèmes de sécheresse vaginale sont améliorés par des lubrifiants non hormonaux, sans conséquence sur le cancer du sein.
  • Ces médicaments se lie au récepteur œstrogène et induit une involution (down-régulation) rapide de ces récepteurs.
  • Lorsqu’on observe par échographie qu’il y a au moins entre 1 et 3 follicules de plus de 12 mm dans les ovaires, l’ovulation est déclenchée par une injection d’ovitrelle et, 36 heures plus tard, le rapport sexuel ou l’insémination sont programmés.

Pour les cancers avancés ou métastatiques, l’hormonothérapie est indiquée en association de thérapie ciblée (inhibiteur du cycle cellulaire, inhibiteur mTOR) . Selon les experts, une fois la grossesse réalisée, l’administration de la metformine sera immédiatement suspendue, sauf dans des situations spécifiques qui, de l’avis d’un médecin, sont recommandées pour être prolongées. Si après cette période, l’ovulation n’a pas été réalisée, il est recommandé de passer à des directives thérapeutiques plus agressives. Le traitement du syndrome des ovaires polykystiques est varié, car il dépend de chaque patient.

En résumé, quel protocole d’hormonothérapie ?

D’une part, plusieurs essais ont été de courte durée ou ne comptaient pas beaucoup de patientes, ce qui expliquerait leurs résultats contradictoires. Seule la DHEA appliquée par voie vaginale pourrait soulager les femmes souffrant d’atrophie vaginale45. Les effets à long terme d’une supplémentation en DHEA supérieure à 50 mg par jour sont inconnus et pourraient causer des effets indésirables (voir Précautions). La prescription de l’hormonothérapie du cancer du sein nécessite un suivi annuel avec son gynécologue avec évaluation de la tolérance de l’hormonothérapie, examen gynécologique et bilan sanguin à la recherche d’anomalies lipidiques.

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Ce mode d’action explique certains effets secondaires observés avec le médicament, comme une hypertrophie de l’endomètre nécessitant une surveillance régulière. Après la chirurgie, l’hormonothérapie adjuvante sert à diminuer le risque de récidive du cancer du sein et la mortalité liée à cette maladie. Il est prouvé qu’elle diminue le risque de récidive plusieurs années plus tard dans les seins (récidive locale) ou dans d’autres organes (récidive métastatique).

Médecine & soins de support

Je laisse mes patients l’utiliser, et je les aide à sélectionner l’essentiel. Ce type de situation mérite une consultation avec le gastro-entérologue afin de vérifier qu’aucun problème fonctionnel n’est à traiter. Si c’est OK, une diététicienne naturopathe peut aider efficacement à travers des choix d’aliments voire des compléments (probiotiques, argile …).